Le Saint-Jacques - Thorigné-sur-Dué

What a delightful meal They cater for everyone: from those who want a very well price menu of the day with each course priced separately to the fill gourmande experience for those who choose to experience something very interesting. Everything I saw coming out of the kitchen looked great regardless of the category. My lobster risotto was stunning, tes I chose gourmande. The lobster cooked to perfection and the flavour sat centre palate without drowning in the lovely sauce and rice. My veal was delicious. The burgers I saw coming out looked amazing and made me wish I had another meal at this great restaurant. The terrace was full and it seemed like mainly locals. I would not hesitate to eat here again. My compliments to the chef and their team.

Belle surprise, nous avions décidé de faire une étape dans la région et nous avons donc pris le gîte et le couvert. Et bien, autant l'hôtel est simple autant la cuisine est plutôt raffinée et le chef mélange les saveurs avec brio. Nous avons passé une belle soirée et le repas sans anicroche.

Une révélation, De passage dans la région peu de restaurants dans le coin, nous y sommes allés un peu par défaut.Ce fut une révélation... Les plats sont originaux et excellents, le personnel très souriant.Passage par les WC, impeccables..Un sans faute Bravo

Le plat était simple, un merlu de ligne, bon mais aucune surprise, présentation classique, accompagnement très sommaire, on pensait de rattraper sur les déserts.2 desserts différents : crème de citron sur un sablé coco et cheesecake fraise. Là nous avons été très déçus : le crémeux citron était fade et le sablé inexistant, mou, détrempé. Le cheesecake avait une consistance de clafoutis, aucun goût de "cheese" justement. Nous ne les avons pas mangés.Nous avons fait part de notre déception lorsqu'on nous a desservi... et là rien! Aucun commentaire personne n'est venu nous voir, 50€ les 2 plats avec un dessert à peine entamé, aucun mot du personnel, aucun geste sur l'addition. C'est donc très cher et absolument pas justifié. Lourde déception à tous les niveaux.

Par un dimanche très ensoleillé, et chaud, nous arrivons (2 adultes, un enfant de 4 ans) dans ce restaurant à 13h. Le peu que nous avons vu des plats (2 amuses bouches et une entrée) était délicieux. Mais, lorsqu'après 1h30 d'attente, montre en main, vous n'avez toujours rien eu de plus, ce n'est plus possible.C'est simple, c'est bien la première fois de ma vie - 40 ans dans 3 mois - et alors que je mange au restaurant une bonne vingtaine de fois par mois - y compris des étoilés, n'en déplaise au cuisinier, vous comprendrez plus tard pourquoi je dis cela - que je décide de quitter un restaurant avant d'avoir reçu mon plat principal!Le plus affligeant dans cette histoire : aucune excuse de la part du service et des gérants. Pire : ce serait même de notre faute, "il faut savoir attendre lorsqu'il s'agit de bonne cuisine"..., mentant au passage sur la durée de notre attente et nous lançant à "rester au MacDo", dans une montée de colère soudaine qui laissait à penser que nous n'étions peut-être pas les premiers à trouver la lenteur du service excessive... Pour son info, je n'ai pas mis les pieds dans un MacDo depuis environ... 10 ans. Par contre, je le confesse, de temps en temps je me fais un burger Big Fernand !Dernier épisode, l'addition de ce non repas : d'abord loufoque en voulant nous faire payer des plats que nous n'avions pas consommés, puis calculée de façon délirante à trois reprises... j'ai failli partir sans payer tant le montant était déconnecté et malhonnête de ce que nous avions vécu et l'attente supplémentaire insupportable (là, cher lecteur, si tu lis encore, sache qu'il est 15h lorsque nous sortons de l'établissement et que nous n'avons rien mangé). C'est bien simple, c'est ma fiancée qui m'a retenu.Bref, c'est manifestement délicieux, du peu que nous avons vu. Mais avec un service totalement délirant, qui fait malheureusement oublier le reste et enlève toute saveur et envie (j'oubliais : 32°C à l'ombre, mais pour avoir de l'eau pareil, mission impossible).